Comment la formation vélo peut-elle booster votre carrière dans le secteur du marketing ?

Posté par : Manon - le 17 Septembre 2025

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Manon :

Je me demandais si certains d'entre vous avaient exploré les parallèles entre la pratique du vélo (régularité, objectifs, dépassement de soi) et les compétences recherchées en marketing. Est-ce qu'une formation spécifique, axée sur cet aspect, pourrait être un atout original sur un CV, ou est-ce que je suis complètement à côté de la plaque ? Je suis curieuse de vos avis !

le 17 Septembre 2025

Commentaires (11)

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Manon :

Bon, je reviens vers vous après quelques recherches et une petite formation en ligne sur le sujet. C'est vrai que c'est plus subtil que ce que j'imaginais au départ. L'idée d'une formation *spé* vélo/marketing, c'est peut-être un peu trop niche, mais j'ai pu développer des arguments intéressants à mettre en avant lors d'entretiens. Merci pour vos réflexions, ça m'a aidée à structurer ma démarche !

le 17 Septembre 2025

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Évasion4 :

Manon, tu as suivi quelle formation en ligne finalement ? Et quels types d'arguments tu as pu en tirer pour tes entretiens ? Je suis curieuse d'en savoir plus !

le 18 Septembre 2025

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Manon :

Pour répondre à ta question, Évasion4, j'ai suivi un MOOC sur le storytelling et le marketing de contenu. Ça m'a permis de faire le lien entre la narration d'un défi sportif (comme une longue randonnée à vélo) et la capacité à créer des campagnes marketing engageantes. En gros, j'ai mis en avant l'endurance, la planification stratégique et la gestion des imprévus comme compétences transférables. L'idée, c'est de montrer qu'on sait transformer une expérience personnelle en atout pro. J'espère que ça t'aide !

le 18 Septembre 2025

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Advergent :

Intéressant ce MOOC sur le storytelling et le marketing de contenu. 👍 L'analogie entre défi sportif et campagne marketing, c'est pas mal trouvé. Perso, je verrais bien aussi un parallèle avec la gestion de projet : définir un itinéraire (plan marketing), gérer les ressources (budget, équipe), anticiper les obstacles (concurrence, imprévus du marché) et finalement, atteindre la destination (objectifs de vente, notoriété). Bon, après, faut pas non plus en faire une thèse... 😉

le 19 Septembre 2025

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DigitPro99 :

L'approche d'Advergent est pertinente. Transformer son expérience de cycliste en compétences transférables, c'est une excellente façon de se démarquer, particulièrement dans le marketing. Je pense à l'acquisition client. Si on transpose ça au cyclisme, chaque coup de pédale devient une action marketing pour atteindre un objectif (le sommet, la fin d'une étape...). Il faut de la régularité, de l'optimisation (choix du braquet, position sur le vélo pour minimiser la résistance au vent...), et de l'adaptation (gestion de la fatigue, des changements de terrain...). Dans mon domaine, les marketplaces, on est constamment en train de tester de nouvelles stratégies pour améliorer le taux de conversion. C'est un peu comme chercher le meilleur itinéraire à vélo, celui qui te fera consommer le moins d'énergie possible pour arriver le plus vite possible à destination. L'A/B testing, c'est un peu comme tester différents parcours pour voir lequel est le plus efficace. Si on prend les données d'une étude récente, on voit que les entreprises qui investissent dans l'optimisation de leur présence sur les marketplaces voient leur chiffre d'affaires augmenter de 15% en moyenne. C'est un argument de poids, non ? Et puis, il y a l'aspect de la résilience. Un cycliste qui crève un pneu en pleine course doit savoir réparer rapidement et repartir. En marketing, c'est pareil : une campagne qui ne fonctionne pas, un bad buzz... il faut savoir réagir vite et trouver des solutions. Et ça, ça se travaille, que ce soit sur un vélo ou devant un écran ! Après, c'est certain, faut pas non plus transformer un entretien d'embauche en récit de Tour de France... mais bien amené, ça peut vraiment faire la différence.

le 19 Septembre 2025

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Karim Benali :

Je suis d'accord avec DigitPro99, l'analogie avec l'acquisition client est bien vue. Chaque action, chaque ajustement compte. C'est une course de fond. Et l'histoire du taux de conversion sur les marketplaces, c'est parlant. 15% d'augmentation du chiffre d'affaires, c'est pas rien. Ça me fait penser à une étude que j'avais lue sur l'impact de la personnalisation des offres sur les sites e-commerce. Ils avaient constaté que les clients étaient 20% plus susceptibles d'acheter un produit si la proposition était adaptée à leurs préférences. C'est comme choisir le bon braquet en fonction du terrain, tu vois direct l'effet sur ta performance. Ce qui est intéressant, c'est de voir comment ces compétences se complètent. La résilience, la capacité à analyser les données, à s'adapter... C'est tout ça qui fait un bon marketeur, et finalement, un bon cycliste aussi. On est toujours en train de chercher à optimiser notre "rendement", que ce soit pour gravir une côte ou pour convaincre un client. Faudrait voir si les écoles de commerce intègrent des cours de réparation de vélos dans leur cursus, ça pourrait être un bon indicateur de résilience ! (c'est une blague hein ;) )

le 20 Septembre 2025

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Attribua72 :

Karim, ton histoire de cours de réparation de vélos, c'est excellent ! 😂 On devrait lancer une pétition ! Plus sérieusement, je rejoins complètement ton point de vue sur la complémentarité des compétences. La personnalisation des offres, c'est clairement un levier puissant pour améliorer la conversion. Pour en revenir à la question initiale, je pense que la clé, c'est de savoir mettre en avant ces compétences de manière subtile et adaptée au contexte. Pas besoin d'en faire des tonnes, mais montrer qu'on a une vision globale et une capacité à s'adapter, c'est toujours un plus. 💪

le 20 Septembre 2025

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Évasion4 :

Attribua72, ta remarque sur la subtilité, c'est pile ça ! 😉 Inutile de sortir le CV de cycliste pro, mais glisser l'info comme quoi on aime bien se fixer des défis et les atteindre, c'est top. Un peu comme un placement de produit... mais de soi-même ! 😄

le 20 Septembre 2025

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Advergent :

Yes, merci à tous pour ces idées. Ça m'a donné des pistes à explorer.

le 20 Septembre 2025

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Manon :

Bon, si je résume un peu, on est passé de l'idée d'une formation vélo-marketing à l'exploitation des compétences transversales qu'on peut retirer de la pratique du vélo (endurance, gestion de projet, adaptation...). L'importance de la subtilité et de l'adaptation au contexte a été soulignée, avec des exemples concrets comme la personnalisation des offres et l'amélioration du taux de conversion. On est d'accord sur le fait qu'il faut pas non plus en faire une thèse, mais que bien amené, ça peut faire la différence.

le 20 Septembre 2025

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Advergent :

Manon, ton résumé est nickel. On boucle bien la boucle, quoi. Ce qui serait marrant, c'est de voir si des boîtes ont déjà utilisé le vélotaf comme argument marketing. Genre, "nos employés sont tellement éco-responsables qu'ils viennent tous en vélo, donc achetez nos produits, ils sont forcément top !" Bon, ok, c'est un peu caricatural, mais je suis sûr qu'il y a des trucs à creuser. En tant qu'acheteur d'espace, je vois pas mal de pubs qui misent sur le côté "green" et "durable". Y a une étude de l'ADEME qui montre que 70% des consommateurs sont plus enclins à acheter des produits d'entreprises engagées pour l'environnement. Du coup, si t'arrives à lier ton expérience de cycliste à une démarche RSE, ça peut carrément faire mouche. Faut juste trouver le bon angle. Et puis, y a le côté "performance". On parlait du taux de conversion, mais on pourrait aussi parler de la productivité. Une étude de l'Université de Bristol a montré que les employés qui font de l'exercice régulièrement sont 15% plus performants que les autres. Alors, imagine un marketeur qui carburerait au vélotaf et à l'A/B testing ! 😎 Bref, je pense qu'on a fait le tour de la question. Maintenant, faut pédaler pour mettre tout ça en pratique !

le 20 Septembre 2025